Mon intolérance aux pollens a disparu

Pour aller plus loin

Saviez-vous qu’une personne sur quatre en France souffre d’intolérance respiratoire avec des conséquences plus ou moins gênantes ?
Dans les zones les plus denses, elles peuvent être accentuées par la pollution de l’air.
Des millions de Français sont concernés par des intolérantes aux pollens plus ou moins invalidante (rhinite, conjonctivite, asthme, etc.).
L’Agence régionale de santé, en collaboration avec de nombreux partenaires, mènent des actions de surveillance et d’informations pour limiter les risques d’exposition.

Qu’est-ce que l’intolérance aux pollens ?

Les pollens sont responsables de réactions intolérantes appelées pollinoses au niveau des zones de contact : muqueuses, respiratoires et oculaires. Plus rarement, ils peuvent être responsables de réactions cutanées, telles que l’eczéma ou l’urticaire.
Les intolérants ressentent généralement les troubles suivants : crises d’éternuement, écoulement nasal (rhinite), nez bouché, respiration nasale difficile, yeux rouges, irrités et larmoyants (conjonctivite), démangeaisons au niveau du palais, du nez et des oreilles, enrouement, toux irritative. Le mucus accumulé dans les sinus paranasaux peut induire une sensation de pression dans les sinus, ainsi que des douleurs dans la mâchoire et des maux de tête.

 

Existe-t-il un traitement naturel et efficace pour l’intolérance aux pollens ?

Je suis sûr que les symptômes mentionnés plus haut ne vous sont pas inconnus. Raison pour laquelle vous faites bien de lire la suite.
Fort heureusement, une solution naturelle et non invasive existe contre l’intolérance aux pollens, l’intolérance aux graminées encore appelé rhume des foins.
Il s’agit d’un traitement par Homéopathie de Contact™ qui permet de déprogrammer rapidement et définitivement toute forme d’intolérance.

Marc a bien voulu témoigner sur la manière dont il est venu à bout de son intolérance aux pollens grâce à la méthode Lumen Care.
L’histoire de Marc vous parle, vous souffrez peut-être des mêmes symptômes et vous êtes fatigué des solutions temporaires ?

Retranscription du témoignage

Marc :
Je dirais qu’aujourd’hui par rapport à ce que j’ai pu vivre, j’ai à peu près entre le 5 et 10% des symptômes que j’avais, jusqu’à l’année dernière.
Donc c’est vraiment une réduction très forte des symptômes que je subissais avec cette intolérance.

Diagnostique et solution à court terme

Mon intolérance a commencé il y a une quinzaine d’années, à peu près entre 15 et 20 ans. C’était une grande surprise parce que bien évidemment au début c’était très léger.
J’ai remarqué que j’avais le nez qui coulait au printemps et donc j’avais l’impression d’être enrhumé. Je prenais même de l’aspirine pour faire passer le rhume.
Au bout de deux, trois ans, je me suis dit : “c’est quand même curieux que je sois tout le temps enrhumé au printemps”. Et un ami m’a dit : “mais c’est peut-être pas un rhume c’est peut-être de l’intolérance “.

Je n’y croyais pas vraiment, je ne savais pas très bien ce que c’était. Je ne connaissais pas grand monde qui était intolérant. Je n’étais pas très sensibilisé sur le sujet. Il m’a donné un antihistaminique en me disant : “essai ça, si ça marche, c’est probablement de l’intolérance et comme ça, tu le sauras”.

Ce que je ne savais pas, c’est que c’était une dose de cheval ce qu’il me donnait. Lui était très fortement intolérant et donc il avait besoin de produits qui étaient très forts. Ça m’a tout séché, ça a effectivement été très efficace.
Juste un petit cachet ça a arrêté mon énergie sur l’année totale.

Je me suis dit qu’il fallait quand même que je traite ce sujet là, parce qu’en fait l’intolérance qui est extrêmement légère au départ, était de plus en plus forte.
Et puis, il y avait curieusement des saisons où c’était très léger, puis d’autres qui étaient beaucoup plus fortes, probablement en fait liées aux pollens du moment.

Globalement j’avais une période de trois mois qui était très difficile, où je me sentais particulièrement épuisé.
J’avais le nez qui coulait en permanence, je me mouchais tout le temps, les yeux qui piquaient… bon tous les symptômes en fait, qu’on peut avoir.

Une solution alternative

Et puis j’ai croisé Olivier. On se croisait régulièrement mais là, cette fois ci, j’ai eu la curiosité de lui demander : mais au fait, toi tu fais quoi ?

Et donc Olivier m’a expliqué ce qu’il faisait et là je ne me suis pas posé beaucoup de questions : je me suis dit de toute façon, c’est un sujet qu’il faut traiter et je ne sais pas comment le traiter.

Je suis assez prudent avec les médicaments. Je n’aime pas l’idée de prendre des antihistaminiques, donc j’essayais toujours de doser au minimum.
Parfois les cachets étaient tout petits, mais je les coupais en deux lorsque je m’apercevais que ça suffisait pour une période.

À une époque, j’étais tranquille pour trois jours avec ça, donc c’était parfait.
Et puis bien évidemment plus ça allait et plus ça devenait important, donc ça me dérangeait de continuer à prendre ces antihistaminiques
[note : les antihistaminiques ont un effet d’accoutumance, expliquant qu’il soit nécessaire d’augmenter les doses pour un même résultat]

Donc Olivier me dit : “j’ai un truc”.

Et donc j’ai eu ma petite boîte. Et donc la petite boîte quand on l’ouvre et qu’on regarde ce qu’il y’a dedans, on se dit : il se fout de ma gueule. (Rire)

Je ne savais pas du tout, je ne comprenais pas comment ça marchait mais je me suis surtout dit que dans le pire des cas cela ne pouvait pas me faire de mal.

On a une petite capsule avec une espèce de ficelle, qu’on se met autour du cou pendant huit heures par jour ; pendant cinq jours et puis plus rien, pendant cinq jours et puis à nouveau pendant trois jours et puis plus rien.

Voilà un traitement qui se fait en un mois : je me suis dis je ne risque absolument rien avec ce truc là.

Si ça avait été des cachets à avaler je lui aurais posé plus de questions mais là je suis dit “ je tente le coup”.

Des résultats probants

Et donc j’ai tenté ça, j’ai du faire le traitement au mois de mars, à peu près entre mars et avril… en tout cas avant l’arrivée du pollen.

Actuellement pour être précis on est le 12 juin. D’habitude mes symptômes démarrent à peu près en mai et s’étalent jusqu’en juillet.
Et là le 12 juin je n’ai pas pris un antihistaminique !!

Donc le seul cas où j’ai du prendre quelque chose c’était après un week end que j’ai passé dans le jardin,

Je n’ai pas encore bien identifié quelles sont les plantes auxquelles je suis sensible. Donc si ça se trouve j’étais sous une plante qui n’est pas le spectre de la capsule.
Là le dimanche soir j’ai vraiment ressenti tous les symptômes que je pouvais ressentir dans les crises que j’ai pu avoir d’habitude.
Mais j’ai réussi en fait à me soigner avec ça [note : il montre un tube d’homéopathie].
Donc de l’homéopathie, mais j’en ai pris uniquement le lundi et après c’était fini !

Donc clairement, si c’est pas un arrêt total les symptômes, c’est une diminution colossales et qui est extrêmement positive.
Donc réussir à s’en sortir tout un printemps, uniquement avec ça pendant une journée, c’est quelque chose que je ne pouvais pas faire avant.

J’ai compris en fait qu’il fallait que je refasse le traitement, donc je referai. Il est très léger et pas du tout intrusif pour le corps, donc je trouve ça plutôt bien.
Et on verra si cela pourra éliminer de manière définitive les symptômes qui restent, même s’ils sont assez mineurs.

Si j’en suis aux résultats que j’observe aujourd’hui, je suis plutôt chanceux.
Je suis heureux d’avoir atténué de manière aussi importante les symptômes que j’avais. Si j’arrive à éliminer complètement et bien je serais le plus heureux des hommes !

Pour découvrir le Complexe Pollen utilisé par Marc, cliquer ici.

 

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