Bonjour,

Olivier Coen, Fondateur
de Lumen Care Laboratory.

Mon nom est Olivier Coen et je suis diplômé depuis des années à la méthode BBA (parente de NAET), qui m’a permis d’en apprendre beaucoup à propos des sensibilités et des intolérances.

Toutefois, bien que ces méthodes m’aient donné l’occasion de pratiquer ce que les médecines naturelles offraient de mieux pour vaincre ces pathologies, cela ne m’a pas suffit, j’ai décidé d’aller encore plus loin, d’être encore plus efficace. C’est pourquoi j’ai créé la Réinformation Vibratoire et le laboratoire Lumen Care.

Pour bien comprendre pourquoi et comment j’en suis arrivé à développer une nouvelle thérapie, laissez-moi tout d’abord vous raconter mon histoire qui, peut-être comme vous, s’apparente davantage à un parcours du combattant qu’à une promenade de santé :

Malade pendant plus de vingt ans

Dès la fin de l’adolescence, ma santé a commencé à décliner sérieusement avec notamment beaucoup de soucis gastro intestinaux et tous leurs dérivés, dont d’inquiétantes fatigues chroniques.
Après avoir consulté de multiples spécialistes, je me suis rapidement rendu compte que la médecine conventionnelle ne pouvait ni m’apprendre de quoi je souffrais, ni m’apporter aucune solution intelligente.
Finalement, livré à moi-même, j’ai rapidement pris l’habitude d’emmener ma trousse à pharmacie dès que je sortais de la maison, et il ne se passait pas un jour sans que je ne ressente d’handicapants signes de fébrilité.

Découverte de mon intolérance au gluten

A l’occasion d’une consultation chez une naturothérapeute, j’ai pu faire un test de sensibilité qui s’est révélé positif au gluten.
Après avoir essayé un premier régime strict pendant une quinzaine de jours sans constater d’amélioration flagrante, j’ai finalement craqué pour un bon plat de pâtes.
À peine sorti du restaurant, j’ai été pris d’un mal de crâne si violent et si persistant qu’à partir de là j’ai dû accepter que cet éphémère plaisir ne valait pas le risque de souffrir autant.
Un peu déçu, je me suis finalement résigné à reprendre mon régime qui, s’il ne m’avait pas guéri, me permettait tout de même d’éviter le pire.

10 ans de régime strict

Après avoir pratiqué ce régime hyper contraignant où gluten et maïs étaient tout simplement proscrits de mon alimentation pendant plus de dix ans, ma qualité de vie s’est considérablement améliorée et la taille de ma trousse à pharmacie portative, a pu diminuer en conséquence.
Diminuer, mais pas disparaître !
Finalement, en plus d’éplucher tous les ingrédients des produits sans gluten, puisqu’ils sont souvent remplacés par des farines de maïs, j’étais encore quelque peu handicapé par ma condition.
Ce régime drastique ne faisant que limiter les effets secondaires de ma sensibilité ne résolvait en rien le problème initial, et notamment tout ce qui était lié au syndrome de l’intestin irritable et sa contrepartie, la fatigue chronique.

Une lueur d’espoir

A l’occasion d’une visite chez un ami ostéopathe à qui je racontai le « ras le bol » que j’éprouvais à force de ne plus pouvoir manger ce qui me plaisait, il me proposa de tester une nouvelle méthode qu’il était en train d’expérimenter et me soumit à quelques échantillons de réactifs en dilution homéopathique korsakovienne.

Après avoir testé sur moi quelques fioles, il en retint deux. Puis il prit un papier buvard, y déposa une goutte de chaque fiole, et l’enfila dans une petite pochette plastique munie d’une ficelle qu’il m’invita à porter autour du cou pendant quelques jours. Deux semaines après avoir testé ce protocole je pris mon courage à deux mains avant d’avaler un bout de pain.
Et à ma grande surprise… pas le moindre mal de tête !
Frustré depuis si longtemps, je me jetai gloutonnement sur le reste, puis dans un éclair de lucidité, il me sembla plus prudent de m’arrêter là. Je réalisai alors avec étonnement que l’intensité de mon stade allergique avait régressé au stade d’intolérant.
Même si je n’étais pas encore complètement guéri, je pouvais d’ores et déjà me permettre quelques transgressions et par la même occasion mettre à mal cette idée bien ancrée que j’étais coincé à vie avec ce régime de privations.

Découverte NAET et BBA

Très impressionné par les résultats, je décidais de rendre une nouvelle visite à mon ami ostéopathe pour lui poser une question qui me brûlait les lèvres : « Comment aller plus loin dans la résolution des mes problèmes et surtout se former à cette miraculeuse méthode ? ». Malheureusement ses connaissances s’arrêtaient là et les séances suivantes ne me permirent toujours pas d’avancer.
Je me sentais mieux, certes, mais je n’étais pas encore arrivé au bout de mes peines. Malgré tout, cette nouvelle lueur d’espoir m’encouragea vivement à faire de longues recherches sur le sujet.
Manque de chance, mis à part quelques infos sur l’homéopathie de contact, je ne trouvai rien de tangible sur la méthode en question. En revanche je pris connaissance de deux autres thérapies énergétiques qui prétendaient parvenir à des résultats similaires : Les méthodes NAET et BBA.

Formation et auto-traitement

Passionné, je m’informai, achetai un livre, me documentait et finalement me lançait dans une formation BBA avec l’objectif non dissimulé d’être mon premier
cobaye. Après quelques mois de pratique, et bien que ces méthodes me permirent d’obtenir des résultats supplémentaires, c’était à mes yeux encore insuffisant.

Par ailleurs, la somme des connaissances acquises me laissa penser qu’il n’était pas impossible d’adapter la méthode BBA dans le but de la simplifier, voire de la pratiquer à distance.
Puis, en reliant l’homéopathie de contact pratiquée par mon ami ostéopathe avec mes connaissances en BBA et NAET, j’eus le déclic.
Je me jetais dans des recherches très poussées et quelques mois plus tard, je mis au point le tout premier prototype de ce qui devait devenir les capsules de réinformation.
J’ai bien sûr commencé à le tester sur moi-même, ce qui m’a permis de mettre au point les prémices du premier Complexe Gluten et j’ai finalement commencé à en ressentir les bénéfices sur ma sensibilité.
A l’occasion d’une semaine de vacances en Italie, je me suis jeté à l’eau en me régalant de pâtes et de pizza. Jours après jours, je pistais les moindres signes de faiblesse, mais rien, aucun effet secondaire.
J’étais enfin libéré de ce cauchemar impliquant contraintes sociales et affectives depuis plus de 10 ans.

La libération

Aujourd’hui, aussi étrange que cela puisse paraître, je remercie le ciel de m’avoir gratifié d’autant de maladies m’ayant donné la chance d’avancer sur le chemin de cette thérapie.

La déprogrammation de ma sensibilité au gluten fut un long chemin d’expérimentation et mon objectif était dès le départ de pouvoir en faire profiter les autres.

N’étant pas intéressé par la pratique de soins longs et fastidieux, dès que possible, mes recherches s’étaient naturellement portées vers la simplicité.
C’est pourquoi, une fois que les capsules de réinformation eurent prouvé leur efficacité, je les rendis encore plus accessibles en imaginant un protocole adapté à tous, permettant aisément de se passer d’une consultation personnalisée.
Si la sensibilité au gluten a constitué mon premier protocole de recherche, ce n’est pas seulement parce que je connaissais bien ce problème pour en avoir moi-même souffert, c’est aussi parce que c’est une logique d’approche de soins bien identifiée dont le principe pouvait s’appliquer à d’autres perturbations.

Et maintenant

A présent, grâce à une utilisation personnelle des capsules de réinformation et depuis 2016 :

  • je ne présente plus aucun symptôme concernant le gluten ou le maïs,
  • ma paroi intestinale s’est reconstruite en 3 mois et n’est plus poreuse,
  • ma fatigue chronique a totalement disparu,
  • ma présence d’esprit ne s’altère plus d’un jour à l’autre,
  • je ne fais plus aucun régime,
  • et surtout, j’ai définitivement abandonné la trousse à pharmacie que je gardais toujours sur moi.