[Témoignage] Surmonter les effets secondaires de l’hormonothérapie grâce à la capsule Lumen Care

Anne partage son expérience après un traitement du cancer du sein et son recours à la méthode de réinformation vibratoire.

Témoignage intégral :

En juin 2024, j’ai été opérée. J’ai subi une tumorectomie du sein, qui ensuite a été suivie d’un traitement de radiothérapie pendant 20 séances.

Et à la suite de ça, au mois de décembre, j’ai commencé un traitement en hormonothérapie qui doit durer entre 5 à 7 ans. Cette hormonothérapie, qui consiste en Fémara ou Létrozole, je me suis renseignée, et a priori, c’est vrai que j’ai vu qu’il pouvait y avoir pas mal d’effets secondaires, même si on me disait que ça ne touchait pas forcément tous les patients sous ce traitement.

Et j’ai commencé justement à me renseigner sur ce qui pouvait atténuer ces effets secondaires éventuels.

J’ai découvert il y a quelques années la méthode Lumen Care parce que j’étais allergique au gluten et je ne pouvais pas du tout en manger. Après des traitements Lumen Care en portant des capsules, j’ai pu augmenter très, très largement ma tolérance au gluten.

Et à la suite de ça, ayant trouvé cette méthode super intéressante, innovatrice et innovante, je me suis formée en pensant que ça pouvait aider énormément de monde.

Ça pouvait justement aider les personnes atteintes de tous types d’intolérance et de sensibilité. Lorsque j’ai su que j’allais être traitée au Létrozole, je me suis dit que j’allais, de manière préventive, tester la méthode Lumen Care.

J’ai décidé de faire le protocole en encodant l’isothérapie du Létrozole. Et puis, je l’ai portée pendant un mois.

J’ai ensuite démarré réellement le traitement. Les deux premières semaines se sont très bien passées. Puis, la troisième semaine, j’ai commencé à ressentir des effets secondaires qui se sont accumulés :

• irritabilité,
• douleurs articulaires,
• brouillard neurologique,
• plaques sur la peau,
• énormément de fatigue.

À un moment, je n’arrivais plus à me lever le matin. Des premiers symptômes dépressifs ont commencé à apparaître.

Donc, j’ai reporté la capsule et, au bout de trois semaines, du jour au lendemain, je me suis réveillée et je n’avais plus rien, plus aucun effet. Je me suis réveillée comme si, finalement, je n’étais plus sous traitement.

Il y a eu ensuite quelques petits ajustements à faire, parce que je sentais que tout n’était pas totalement résolu, même si 90 % des effets avaient disparu de manière pérenne.

Lorsque j’ai eu mon rendez-vous de suivi avec l’oncologue, je lui ai parlé de la méthode et de comment j’avais réussi à surmonter ces effets indésirables.

J’étais très enthousiaste et, malheureusement, je n’ai pas ressenti que l’enthousiasme avait été très partagé ni qu’il y avait un grand intérêt, ce qui m’a beaucoup déçue.

Parce que je pense qu’on pourrait aider énormément de monde à passer ces effets secondaires, qui sont quand même une double peine dans ces épreuves de vie, et que c’est une méthode qui mérite tout à fait d’être essayée.

Mais je ne désespère pas. Je suis sûre qu’à terme, des preuves scientifiques montreront tous les bénéfices que peut apporter cette méthode aux patients.

Une méthode à découvrir

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